Présupposer que les personnes qui n’ont pas passé par des expériences atroces soient par le même celles à la psychique « saine », et en même temps, que le psyche de celles qui viennent de vivre – ou ont derrière elles, quelque part dans leur passé – les chocs et les traumatismes qui décalent de ce que connaît un humain « statistique » soient forcement « affaibli », qui les qualifierait, sûrement, à ce que l’on les envoie à « consulter » (nota bene: chez un individu qui n’a ni vécu, ni ne connaît des mêmes choses) est une idée se trouvant parmi les plus insensées dont j’aie entendu dans ma vie actuelle et probablement dans les autres.
À part de ce que la psychologie est aujourd’hui une science obsolète – car ne disposant pas des outils suffisants, ni même appropriés, pour faire une personne guérir des deséquilibrages énergétiques issus de ses vécus traumatiques, la libérer de son karma et la mener à l’état de la happiness – il est vrai également que dans la plupart des mondes individuels crées par les humains, ceux qui devraient « consulter » se trouvent plutôt clairement du côte des personnes qui, elles-mêmes, servent le système des blouses blanches: celui-ci basé sur le principe que les uns parmi les êtres humains soient – suite d’une « fatalité » irrationnelle et dont la question de la source semble rester inintéressante pour l’humanité – destinés à « être malades » et les autres – dans l’inconnaissance complète de la vie de leur proche – à « les » soigner et – quelle arrogance – statuer de leur état.
Un livre parlant de l’Ho’oponopono – que j’ai acheté par hasard pendant que je m’approfondissais encore dans la DEKODYKA** et que, malgré plein des choses intéressantes y contenus j’ai jeté hâtivement à l’époque en m’étant rendu compte que la méthode se caractérise de ce que je trouve inacceptable : l’addiction au « pardon » et l’imposition aux individus de cette démarche (le « pardon », comme dans toutes les religions, devient dans l’Ho’oponopono comme si un Dieu lui-même) mentionne l’exemple d’un docteur exceptionnel: menant durant plusieurs années à la guérison les soi-disant « fous » dans un hôpital psychiatrique.
Pendant qu’au temps de tous ses prédécesseurs les « cas désespérants » en restaient, les « fous » sombraient dans leur folie et les « malades » en devenaient encore plus, dès l’arrivée du guérisseur évoqué ici, à la façon étonnante, les « éternels inguérissables »… arrivaient à la santé.
Le « docteur » ne voyait pourtant ni d’un seul parmi ces personnages: il restait dans son cabinet et – en regardant un par un les dossiers des personnes concernées qui se trouvaient là, dans le même bâtiment – seul, par sa pensée, soignait en lui-même ce qu’il trouvait comme le « diagnostique » dans les « papiers » des « patients »…
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Chaque guérisseur qui se dit d’être celui des autres est en réel également un actuel ou un ancien séquellé, un atteint ou frappé par les choses qui lui arrivaient, à lui-même : les guérisseurs sincères et conscients l’avouent pourtant sans l’inquiétude que cela pourrait les dépourvoir de leur aréole des « êtres suprêmes », et les moins sincères, le plus souvent succombant à une tentation de camoufler le fait d’avoir eu leurs propres blessures – prétendent de thérapeutiser les autres pendant qu’ils thérapeutisent – en même temps, ou surtout… eux-mêmes.
LES GUÉRISSEURS ET LEUR RÔLE
Quoi qu’il ne vous ait arrivé dans la vie, à quel point la chose ne soit atroce…
vous avez en vous tout ce qu’il vous faut pour en guérir.
L’esprit et le corps de l’humain a été équipé en cela : il en dispose de tous les outils.
« L’autre » – s’il y en a, si vous l’engagez dans ce processus (le plus souvent pour l’accélérer, puisqu’il est vrai qu’en général le processus de la guérison naturelle des traumatismes est très lent) – n’est que le facteur déclencheur d’un mécanisme naturel; et une chose est importante: autant qu’il il ne reconnaîtra pas qu’en catalysant votre guérison il guérit également soi-même, autant qu’il ne verra en vous soi-même – il ne « guérira » personne.
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Vous avez eu les expériences traumatisantes…?
Les vécus qui choquent les autres…?
Ne laissez surtout pas ceux « autres », du monde « moyen » – dont la première réaction à ce qui arrive dans l’univers autre que leur propre, est la peur bleue, l’épouvante et la terreur – à prendre maintenant le volant de VOTRE vie, à VOUS guider, à VOUS piloter, à VOUS diriger (le plus souvent, en vous envoyant chez les soi-disant « spécialistes » qui – regorgeant des « diplômes » édités par le balancier – n’ont jamais vécu de ce qui a été votre épreuve).
Les « professionnels » accrédités et vous imposés par les balanciers servent – à part de servir aussi aux autres, pas plus glorieuses, choses – à rendre possible de décharger le poids de la responsabilité commune pour certaines choses qui arrivent sur le monde, des consciences de ceux à qui cette responsabilité pèserait trop et qui refusent donc la reconnaître.
Ces efforts à conduire les personnes ayant derrière elles un vécu spécifique, à se soumettre à un processus n’ayant rien à voir avec l’épanouissement, à entrer dans un dispositif infantilisant, n’est que le symptôme de ce que l’humanité – toujours encore – se trouve inchangéablement à l’étape de la conscience sur lequel la plupart des individus est gouvernée que par leur peur de ce qu’ils trouvent inimaginable, inconcevable et donc « probablement pas vrai ».
La plupart – ne pouvant pas se figurer que certaines choses et certains vécus qu’ils trouvent insurvivables sur ce monde sont pourtant possibles et bien existantes – préfèrent de présupposer que ceux et celles qui les ont passé(-e)s quand même comme l’expérience et y sont sortis vivant(-e)s,ont dû forcement devenir (et rester…!) « malades » : puisque cela serait ce qui arriverait à eux-mêmes.
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On a ici donc à faire avec une indéniable schizophrénie dont l’existence se révèle dans ce schéma :
-> les personnes moyennes – servant aux balanciers et n’ayant pas en même temps derrière elles des expériences faites des vécus choquants et traumatiques – s’acharnent pour faire soumettre les individus chez lesquels l’appareil autoguérissant fonctionne sans déficience, chez les – inventés par le balancier lui-même – « professionnels » de la « guérison »,
-> aux personnes concernées, le balancier lui-même veut faire croire que sans « dispositif » qu’il impose à l’être libre (après rejoindre le dispositif il ne l’est plus), ce processus – pourtant naturel, de la guérison – est impossible***.
De l’autre part, étrangement, les mêmes servants engagés par les balanciers,
insistant avec le zèle qui témoignerait plutôt le fait qu’eux-mêmes auraient un problème, à ce que les personnes ayant derrière elles un/les vécu(-s) traumatique(-s) consacrent leur énergie, leur temps et leur statut de l’Humain-Dieu aux « visites » énergétiquement-gaspillantes des soi-disant « spécialistes »,
cela – aussi soi-disament – « pour guérir »…
ne manifestent guère de leur bonheur suite d’être informés que la personne,
sans « intermédiaire » (-im)posé sur son chemin par le balancier,
ne se trouve point dans l’état qui la qualifierait à être soumise à une « gestion » extérieure****, ou a guéri – à la façon pour les mainteneurs des balanciers « magique » : « seule », « spontanément», sans « assistance », « elle-même »…
MOUVEMENT & CRÉATION. LES VRAIS « MÉDICAMENTS »
ET LE PARANOÏA DES SUBSTANCES CHIMIQUES
Ce n’est pas les « médicaments », qui possèdent la force qui soigne : ici, aussi c’est notre pensée. Ce qui semblait pas du tout évident encore il y a certain temps et à la plupart des personnes a été aujourd’hui confirmé au cours des diverses expériences. Une d’elles, par exemple, consistait à montrer les réactions de l’organisme humain à deux groupes des substances chimiques : laxative et l’autre, ayant l’action exactement contraire. Seulement, à deux groupes des personnes participant dans ce test on ne l’a pas dit : les individus, sans y faire de la différence, ont été informés que la substance servie était un purgatif…
Suite de quoi, chez les deux groupes, on a obtenu effectivement le même effet : celui de la purgation…
…Pas la pensée donc serait ce qui crée nos réactions…?
…Qui en doute encore…?
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Au temps où le mot « médicament » ne s’associait pas encore avec les drogues handicapant et écorchant l’humain de la force qui – sans elles – était la sienne, avec les pharmacies et avec organisées par le système des balanciers addictions psychologiques et physiques, il signifiait simplement: « prendre soin ».
Aujourd’hui, tout ce qui se trouve dans les magasins de la vente de la dépendance en comprimés devrait porter plutôt le nom des addicteurs et des vassalisateurs.
…Les meilleurs « médicaments » – dans le sens originel de ce mot – si ce soit pour se ressourcer ou si ce soit pour guérir des traumatismes – sont, et resteront toujours :
le bain dans le son,
le chant,
la danse,
le YOGA,
la création
et le défoulement physique.
BOUGER ET CRÉER – cela est la nature de l’humain, qui – sur un niveau étant une matière, sur l’autre est quand même une vibration, un ensemble des certaines fréquences, un être merveilleux ressemblant une onde électrique… BOUGER ET CRÉER – comme tout en lui-même bouge et crée chaque instant un nouveau monde, c’est aussi faire ouvrir, dans son corps (physique, éthérique, énergétique) les channels of the flow de l’énergie : qui chez les personnes malades ne passe pas,
y stagne, reste bloqué.
…Quant à ce que la société a nommé les « médicaments » et qui n’est que l’artifice et la chimie, ceux qui, dans le monde dont le fonctionnement est basé sur les plus diverses addictions ont perdu leur instinct originel de rejeter les choses nocives, je propose d’écouter – ou lire – le professeur Stanisław Wiąckowski :
« Nasze ciala zostaly stworzone z calkowicie naturalnych substancji. Tak wiéc patentowane farmaceutyki sà wiéc dla naszych organizmôw substancjami kompletnie obcymi. Nic zatem dziwnego, ze prawie 100 000 Amerykanôw rocznie umiera wskutek ich zazywania, a setki tysiécy doswiadczajà negatywnych skutkow ich dzialania »*****.
(« Leki są trzecią najważniejszą przyczyną śmiertelności – prof. Stanisław Wiąckowski »
-> à écouter here : www.youtube.com/watch?v=YPRY9evIviM).
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Vous n’êtes pas obligés à confier votre vie aux « docteurs », à ceux qui « savent » – pourtant SUR VOUS – « mieux que vous », vous n’êtes pas obligés à vous rendre aux « médecins ». Vous n’êtes pas obligés à permettre que le balancier – celui de l’industrie des « malades » produits par lui-même vous prenne votre pouvoir que vous possédez jusqu’où vous ne le cédez sans y croire plus.
C’est vous, qui décidez de votre santé, quoi qu’il ne vous arrive comme le choc psychique, c’est vous qui tranchez de l’état de votre esprit et de la suite de votre vie.
Ne soyez plus les marionnettes, sur « l’état » desquelles se sont les autres qui « se prononcent »: ces « autres » à qui vous croyez plus qu’à vous.
Ne rendez pas de votre puissance aux parasites énergétiques,
ne laissez pas à vous enlever de votre déité,
ne permettez pas à vous en écorcher.
Vous n’avez que croire : et vous marcherez sur les flammes.
Vous n’avez même pas besoin d’avoir de la force.
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BALLADYNA↑WITCH ☼ PARIS, 4-5 AOÛT 2017
PHOTOGRAPHIE: “JE CONNAIS LE CODE À MON PROPRE…”
(COULEUR DU FOND: CENTRE SIVANANDA DE YOGA VEDANTA À PARIS).
* Les balanciers : les structures parasitaires se nourrissant de l’énergie humaine ; ex. : le balancier de l’industrie pharmaceutique, les appareils de l’« administration », le balancier de la « justice », etc…
** DEKODYKA – la méthode de la dé- et ré-programmation de l’esprit pratiquée en Pologne; inventée par sa précurseuse Daniela Czarska. Aujourd’hui, plusieurs dérivations de cette méthode simple et efficace existent : toujours basées pourtant sur le même principe : dé-programmation, ré-programmation & nettoyage de l’esprit/corps.
*** Je parle dans ce texte des guérisons des expériences traumatiques : mais la même règle concerne tout ce que l’humanité, depuis qu’elle existe (ou… depuis qu’il existe l’industrie pharmaceutique) a nommé une « maladie » : si elle soit psychique ou physique.
**** …Pendant que soumettre l’individu précisément à cette gestion extérieure est le but et le principe de chaque balancier.
***** « Nos corps ont été créés entièrement à partir de substances naturelles. Donc, les produits pharmaceutiques brevetés sont pour nos corps les substances complètement étrangères. Vu cela, il n’est pas du tout étonnant que près de 100 000 des Américains meurent chaque année suite de leur consommation, et des centaines de milles subissent les effets négatifs de leurs actions » (Prof. Stanisław Wiąckowski : « Les médicaments sont la troisième cause de mortalité »).
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